Dans son numéro de l’hiver 2017, la revue "N’autre Ecole" s’est intéressée aux nouveaux mouvements d’opinion qui animent le monde de l’école. Estimant que, "depuis une trentaine d’années, l’éducation est devenue le champ d’intervention privilégié d’une nébuleuse de personnalités et de réseaux caressant le rêve de rétablir un état scolaire – et social – ancien", ce journal estime que ce sont les « réac-publicains » qui, "évoquant inlassablement l’effondrement du niveau et la décadence de l’institution", seraient désormais le fer de lance d’une opposition farouche.
S’appuyant sur une typologie quelque peu réductrice, la revue "Autre Ecole" classe les "Enseignants pour l’Enfance" du côté des "intégristes et ultra-libéraux scolaires".
Fer de lance de "la révolution conservatrice", notre association se trouve rangée du côté des "idéologues de l’identité nationale et du déclin de la civilisation". Ce genre de taxinomie, hâtive et réductrice, incite à se demander de quel côté se trouvent les faiseurs de stéréotypes et les marchands d’amalgames faciles.
Pour en savoir plus sur cette éloquente classification, on peut cliquer ici (en zoomant avec la loupe) : http://www.questionsdeclasses.org/reac/IMG/png/carto_image.png
Ou encore ici, pour lire le texte d’accompagnement :
http://www.questionsdeclasses.org/reac/IMG/pdf/carto_a3-2.pdf
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